Contexte
«Madame la Présidente, messieurs et mesdames les ministres, je suis ici aujourd'hui pour vous parler d'un sujet important. Le sujet de la délinquance, pas celui que nous trouvons dans les rues tous les jours à n'importe quels moments, mais la délinquance dans les écoles. Le taux de délinquance ayant augmenté considérablement, je pense qu'il est temps pour nous d'agir. Les professeurs se suicident, partent en dépressions, même les élèves sérieux qui veulent travailler sont affecter par ces personnes qui gâchent l'ambiance de travail qui doit régner dans une école. Cependant, je ne veux pas qu'on abandonne ces jeunes, oui, ils ne semblent plus pouvoir aller du bon côté de la route, je sais aussi que les parents ont abandonné tout espoirs pour leurs enfants, je sais aussi que la société ne peut pas s'occuper de tous ces élèves qui sont exclus des écoles. C'est pour cela que j'aimerais qu'on réfléchisse à ce que nous pourrions faire pour qu'ils soient dans un environnement qui puissent les aider. Ce n'est pas seulement en Russie, mais dans le monde entier que ça soit des Européens, des Asiatiques, il faut qu'on trouve une solution pour toutes ces personnes, mais avant de partir loin, essayons de régler le problème en Russie pour que les 88 % ne soient que mauvais souvenir.» Madame Ievdokimov avait réfléchi pendant un moment. Puis elle avait concerté tout le monde et la conclusion final avait été « Monsieur
Ulrick ANTONOVITCH, créez une école pour ses jeunes. Si dans dix ans, nous n'avons pas une baisse considérable de délinquance, nous serons obligés de trouver une autre solution pour ces personnes qui nous posent problème.»